Ce que j’ai écrit : Le journal Intime de Dominique Blondin

 

Dominique Blondin, dans la jeune vingtaine, aspire à une grande carrière. C’est lors de son premier stage pour un important journal qu’il se démarquera le plus. Brillant et talentueux, il en épate le directeur qui voit en lui en potentiel particulier, car c’est son sexappeal qui l’anime le plus.


Tranquillement, sous le charme de son patron, Dominique fera la découverte étonnante de plaisirs nouveaux dont jamais la pensée ne lui avait effleuré l’esprit. Puis d’expérience en expérience, il s’abandonnera à de savoureux délices qui, avant son stage, lui étaient étrangers, mais qu’il voudra perpétuer à jamais en ne vibrant que pour chaque instant de jouissances.


Il n’en tient qu’à vous maintenant de déguster les aventures succulentes et trépidantes de Dominique.


L’Auteur, Denis-Martin Chabot, homme passionné et rempli d’énergie, adore les défis et l’aventure. Journaliste et globe-trotter, il est constamment à la recherche de nouveaux lieux, personnages, pour alimenter ses histoires ou ses reportages. Il n’hésite pas à sortir des sentiers battus pour y arriver. Sa carrière à la radio, à la télé et sur l’Internet de Radio-Canada, entreprise depuis plus de 25 ans, l’a mené d’un bout à l’autre du Canada, des États-Unis, au Mexique, en Afrique et en Europe. Auteur à succès, il se renouvelle ici avec Le Journal intime de Dominique Blondin.


L’Illustrateur, Yvon Goulet, s’est fait connaître de par le monde pour ses oeuvres étonnantes qui illustrent bien la vie quotidienne du village gai de Montréal. Ses dessins parfois très audacieux surprennent par leur candeur.


Titre : Le journal intime de Dominique Blondin


Format : 11 cm X 17 cm


Pages : 256


ISBN : 978-2-923972-37-4


Prix : 18,95$


Les Éditions de l’Interdit,

C.P. 321 Saint-Sauveur-des-Monts, (QC) J0R 1R0 514-245-9531

http://www.leseditionsdelinterdit.com

Mario Landerman / Zone Culture, octobre 2013

Le texte, qui ne déroge pas particulièrement aux conventions usuelles de la littérature érotique gaie, demeure amusant à lire, grâce à l’emploi de nombreux synonymes ou périphrases pour décrire les actes sexuels. Et, croyez-moi, l’effet s’en fait sentir!

Le texte est agrémenté d’illustrations d’Yvon Goulet. Ce peintre et graveur montréalais, qui a de nombreux fans, s’est fait connaître entre autres grâce à sa particularité d’utiliser des toiles faites à partir de panneaux électoraux, pour y dépeindre des mâles des plus virils. De nombreuses toiles de sa production ornent bureaux, chambres, et salons d’une clientèle avertie qui aime ses hommes pleins de testostérone.

Le journal intime de Dominique Blondin s’adresse avant tout aux gais, qui recherchent une lecture amusante, laquelle ne laissera nul drapeau en berne. Mais les femmes hétérosexuelles vont également y trouver leur compte, puisqu’elles font leurs délices de ce genre de littérature en cachette!


Paul-François Sylvestre / L’Express de Toronto, février 2014

Blondin voyage pour écrire des reportages, mais on en apprend peu sur les différences culturelles des endroits visités, notamment sur l’acception de l’homosexualité, sauf dans le dernier quart du livre lors de séjours à Taïwan, au Rwanda et au Mali.

Ce qu’on retient surtout, c’est qu’une aventure ou deux peuvent remettre en question tout ce qu’un homme «croyait savoir de lui-même, de sa masculinité» et son orientation sexuelle surtout.

Ce qu’ils ont dit :

Shirley Noël / Info-Culture, octobre 2013

Ce livre renferme, sous forme de journal intime, les premiers ébats, la découverte de l’amour et la baise entre hommes, par le jeune Dominique, journaliste en devenir....

...En plus de découvrir plusieurs aspects de la sexualité masculine, qui est tout de même assez différente de celle des hétérosexuelles, le lecteur part à la découverte de divers endroits, de l’Ouest canadien, au Mali en passant par le Rwanda, Taipei et Berlin. Pour chacun de ces endroits, on découvre la vie nocturne gaie, mais surtout les différences culturelles, et le traitement des gais dans chacune de ces régions...

...Ce qui me surprend et me plait le plus dans ces descriptions, c’est la manière que Denis-Martin a, de se renouveler pour nous imager ces scènes.Avec son vocabulaire des plus riches, probablement grâce à son expérience journalistique, le lecteur se délecte de ses métaphores et ses figures de style. En voici quelques exemples que j’affectionne particulièrement :« sa verge effilée et spongieuse s’adapte bien à mon vestibule étroit... Je lâche son arme lourde pour me concentrer sur son sac de munitions avant de plonger ma langue dans son entrepôt. Son canon bat dans toutes les directions, prêt à tirer... Son missile forçant son chemin dans mon zénith... »

Je dois souligner les superbes illustrations couleur que l’on retrouve sur la page couverture, mais également à chaque début de chapitre.Représentant principalement des visages d’hommes superposés et parfois des scènes érotiques fortes attrayantes, ces images sont excitantes, mais également bien dessinées et attirantes au regard. Elles ajoutent à l’imaginaire du lecteur lors de sa lecture.