Biographie
Auteur
Première couverture de Manigances
Histoires du Village, éditions Textes Gais
Le tout a commencé en 2003 quand Denis-Martin Chabot a dû publier Manigances à compte d'auteur. Il avait soumis son manuscrit à une dizaine de maisons d'édition, mais étant un inconnu (il dit qu'il l'est encore) et comme ses romans traitaient de thématiques 2LGBTQIA+, celles-ci n'étaient pas réceptives.
Trois ans plus tard, il remportait le Prix Gros Sel du public en Belgique pour ce même roman. Il a été alors repris par les Éditions Textes Gais. En 2004, il publie Pénitence aux Éditions de la Francophonie. Puis en 2007, c'est Innocence aux Éditions Textes Gais. Accointances, connaissances et mouvances est publié en 2010 chez Popfiction.
La série est reprise en 2012 par les Éditions Textes Gais et en 2013-14 par les Éditions Dédicaces.
Enfin, elle a été remplacée en deux tomes publiés par les Éditions La Semaine en 2015-16 :
Rue Sainte-Catherine Est, métro Beaudry
Ces deux romans obtiennent le prix d'honneur du Prix du roman gay 2017, remis en Nouvelle-Calédonie.
Le journal intime de Dominique Blondin
En 2013, par défi et juste pour rigoler un peu, il a publié aux Éditions de l’Interdit un recueil de nouvelles érotiques, Le Journal intime de Dominique Blondin.
Escales Parisiennes, son premier roman autofictif a été publié en 2019 aux Éditions ND du groupe ADA. Il a été en nomination pour le Prix littéraire international indépendant. Ce roman a été repris aux Éditions Crescendo en 2021.
En 2021, il a également publié mon premier roman de suspens Métro Berri-Uqàm, toujours chez Crescendo.En 2022, il publie Deuil et célébration, la traduction du roman Mourning and Celebration de K. David Brody.
Outre ses romans, Denis-Martin a contribué à plusieurs revues littéraires, dont Ancrage, de l’Association des artistes acadiens et acadiennes professionnels du Nouveau-Brunswick, Brèves littéraires de la Société littéraire de Laval et Le Passeur de la Fédération québécoise du loisir littéraire.
Il a aussi remporté plusieurs prix, notamment aux Rencontres européennes Europoésie, au festival Altern’art de Québec, et à la Fédération québécoise du loisir littéraire.
Il est également dramaturge et ma première pièce de théâtre l'Amant de Samuel a été présentée lors de Fierté Montréal en 2017 et 2018.
Il est aussi l'auteur de plusieurs biographies, mais cela relève de son travail de journaliste.
Journaliste :
"Plus que mon gagne-pain, le journalisme a été ma passion et ma vocation. J’adore ce métier rempli de défis et l’aventure. J'ai été payé pour faire ce qui me passionne. Ce n’est pas rien."
Denis-Martin Chabot pratique le métier de journalisme depuis 1983, alors qu'il étudiait à l’Université Carleton à Ottawa, en journalisme. D'abord, relève à la radio et à la télévision de Radio-Canada, puis à CHOT-TV, la station TVA et à CJRC-radio. Il continue à la radio et à la télévision de Radio-Canada à Toronto en 1985. En 1986, il part à l’aventure dans l’Ouest canadien, toujours pour Radio-Canada. Il déménage à Edmonton. Ses reportages lui font visiter l’Alberta, la Colombie-Britannique, la Saskatchewan et le Manitoba, de même que les états américains de la Côte Ouest et du Mid-ouest.
Il remporte quelques prix, dont un prix AMPIA (Alberta Motion Picture Industries Association) en 1990, un Prix national de Journalisme en 1990, et un Prix média sur la santé en 1995. Également en 1995, il est choisi dans le cadre du programme Interpresse de l'Organisation canadienne pour l'éducation au service du développement. Il passe trois semaines au Mali.
En 1997, il devient correspondant national à la télévision de Radio-Canada. Certains de ses reportages sont primés aux Prix du président de Radio-Canada et aux Prix Gémeau de la Télévision canadienne. Il repart en conquête en 2000, mais de l’Est du Canada, cette fois. Il est nommé correspondant national de la télévision de Radio-Canada à Halifax. Son travail a été souligné par un prix de l’Association acadienne des journalistes.
En 2007, il déménage à Montréal et joint le Centre de l'information de Radio-Canada. En 2008, il reçoit un Prix Judith-Jasmin pour un reportage sur les réfugiés gays au Canada, et il est choisi en 2009 pour une Bourse nord-sud qui l’a mené au Rwanda pour un reportage sur le traitement du VIH. En 2010, il reçoit le Prix Iris-média pour son apport à l’émancipation des communautés LGBT par son travail de journaliste et d’écrivain, prix remis par le Conseil québécois LGBT. En 2016, à la veille de son départ à la retraite de Radio-Canada, la Chambre de commerce LGBT du Québec lui remet un prix Phénicia hommage.
En 2019, il obtient le prix Claude-Tourangeau qui souligne l'implication d'une personne ou d'un organisme dans la lutte contre la sérophobie. Ce prix a été remis par Fierté Montréal.
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Une rencontre fortuite à Paris. Un auteur fait la connaissance d’un homme. L’autre homme. Celui dont il ignorait totalement l’existence et qui lui apprend qu’il est cocu. Depuis très longtemps. C’est le point de départ de ce roman auto fictif qui nous entraine le tourbillon de la violence dans ce couple, dont les conjoints sont des hommes. Dans ce tumulte, les rôles d’agresseur et de victime s’échangent. Avec son humour cinglant, Denis-Martin Chabot nous emmène dans l’univers parfois désolant, parfois drôle d’un homme prêt à tous les compromis dans sa quête d’amour. |  Cliquez ici pour acheter ce livre |
Un après-midi gluant, typique d’un été torride montréalais, la station de métro Berri-Uqam écrase d’humidité. Centre nerveux du réseau de métro de la Société de transport de Montréal, c’est ici que tout commence. Et que tout se termine. Une explosion. Qui et pourquoi ? Des personnages qui auraient tous les motifs du monde de perpétrer cet attentat se dévoilent dans les pages. Le dénouement surprend. Avec ce suspense, Denis-Martin Chabot nous propose un style bien différent auquel il nous a habitués.
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